4 février 2010
4
04
/02
/février
/2010
23:38
eglise de quintenas
On aperçoit un clocher d'une forme bizarre et originale : c'est le clocher de l'église de Quintenas, dont la fondation remonte, dit-on, au temps de Charlemagne. A voir ces meurtrières étroites qui servent de fenêtres aux chapelles latérales, ces murailles épaisses, ces piliers lourds et massifs, on devine que la construction de cet édifice appartient à des siècles où la sécurité individuelle n'existait que derrière des remparts
Published by sergio
-
dans
chapelles eglise chateaux
4 février 2010
4
04
/02
/février
/2010
23:34
Published by sergio
-
dans
chapelles eglise chateaux
4 février 2010
4
04
/02
/février
/2010
16:07
1* Quintenas possède l'un des monuments les plus attachants et les plus originaux du Vivarais : son église "Saint-Pierre aux Liens", dont l'architecture curieuse surprend le passant et l'invite à vouloir mieux la connaître. Sa première construction est antérieure au neuvième siècle. Reconstruite à la fin du douzième siècle, à la suite d'un des nombreux ouragans de l'histoire, elle fut de nouveau gravement endommagée au cours des siècles. Le seizième siècle et sa crise religieuse furent le dernier assaut destructeur qu'elle eut à subir. C'est grâce aux travaux que fit exécuter l'abbé Bobichon, curé de Quintenas, vers 1850, que nous devons l'aspect actuel du monument.
2*Sur cette photo on aperçoit le clocher de l'église de quintenas La maison fortifiée n'est pas un château mais a dû être témoin des Guerres de Religions au XVIème siècle. Quintenas fut tour à tour prise par les Protestants et les Catholiques.
Published by sergio
-
dans
chapelles eglise chateaux
2 février 2010
2
02
/02
/février
/2010
12:09
Le village tire son nom du château « Bel Castrum » érigé au 12 eme siecle par les seigneurs Retourtour et Briand. Ravagé depuis par les guerres de religion, il ne reste de cette place forte que la tour qui domine le village.
Published by sergio
-
dans
chapelles eglise chateaux
2 février 2010
2
02
/02
/février
/2010
11:38
Chapelle Saint Blaise à Gras - (Remarquer les trous de boulin sous la toiture de l'abside) |
La chapelle romane Saint-Blaise, érigée au XIIIe siècle sur un éperon rocheux à l’est du village de Gras, menaçait ruine en 1960. De 1960 à 1964, elle fut l’objet d’une restauration exemplaire grâce à l’action conjuguée de la municipalité de Gras, |
Published by sergio
-
dans
chapelles eglise chateaux
30 janvier 2010
6
30
/01
/janvier
/2010
17:44
Tour des Pénitents, vestige de l'ancienne chapelle Notre-Dame de la Pitié, construite en 1619 et en 1663.
Published by sergio
-
dans
chapelles eglise chateaux
29 janvier 2010
5
29
/01
/janvier
/2010
23:37
Eglise de l'Immaculée-Conception de Bessèges (gard
ville de mon enfance
ancienne ville miniere et usine de tube fonderie et verrerie
aujourd hui il ne reste plus rien
de tout cela ville de retraite
ville dortoir
Généralités historiques
Avant 1790, hameau de la paroisse d Saint-André de Robiac.
Ses forges et ses mines en ont fait une cité.
Bessèges fut érigé en commune en 1857, et en chef-lieu de canton en 1868.
Vestiges préhistoriques et antiques
Epoque romaine : exploitation de plomb argentifère et de fer à Trelys.
Published by sergio
-
dans
chapelles eglise chateaux
28 janvier 2010
4
28
/01
/janvier
/2010
23:28
Le paysage se partage entre les bords du Rhône et, surplombant le village, la colline du hameau de Verlieux où se trouve la chapelle Notre Dame de la Pitié. Le château de Peyraud est une propriété privée de style Louis XIII, il accueillit le premier Synode du Dauphiné en 1561. Fontaine Saint-Martin au quartier Bonnefond. Pont romain enjambant le Crémieu, avec une belle cascade en amont.
Published by sergio
-
dans
chapelles eglise chateaux
28 janvier 2010
4
28
/01
/janvier
/2010
23:16
Chateau du Grand Murier Annonay ARDECHE
Published by sergio
-
dans
chapelles eglise chateaux
28 janvier 2010
4
28
/01
/janvier
/2010
11:22
Au Moyen Âge on mettait facilement toutes les destructions d'églises sur le compte des «Sarrasins». Il n'est pas sûr qu'ils soient venus jusqu'à Saint-Thomé ; ce pouvait tout aussi bien être le fait d'un raid de Normands au Xe siècle. En tous cas, Saint-Thomas fut reconstruite au XIIe siècle. La banale
façade actuelle en masque complètement l'appareil, mais en faisant le tour on découvre bien la structure d'une église romane à une seule nef voûtée, bien construite, avec de gros contreforts latéraux, un petit transept avec, au-dessus, une tour lanterne, puis une abside semi-circulaire. L'intérieur est malheureusement empâté de couches successives de crépis et de badigeons : on reconnaît cependant des arcatures décoratives et des arcs de décharge. Il est à souhaiter qu'un jour tout cet ensemble soit restauré et mis en valeur. Notons que la jeune Association des Amis de Saint-Thomé, en dépit de moyens encore limités, a déjà à son actif plusieurs interventions heureuses, telles que la révision de la toiture de Saint-Thomas, le ravalement de l'abside de Saint-Sébastien et la suppression des disgracieuses consoles du réseau électrique.
Église Saint-Thomas - L'abside et la coupole sur la croisée du transept | Coupole sur pendentifs | L'abside est décorée de niches creusées dans le mur |
Depuis l'époque de la rédaction de ce compte rendu, l'intérieur de l'église a été décapé, ce qui met en valeur une architecture particulièrement intéressante, avec notamment une abside à niches et, sur la croisée du transept, une coupole sur pendentifs parfaitement appareillée. Les coupoles sur pendentifs sont rares en Vivarais.
Le mur de l’abside est creusé de cinq niches semi-circulaires séparées par des colonnes. Il s’agit là d’une caractéristique du premier art lombard, qui se rencontre aussi à la chapelle octogonale de Mélas, à l’ancienne église Saint-Jean-Baptiste de Meysse, à Ruoms et à Saint-Sulpice de Trignan… Souvent ces alvéoles reposent sur un mur bahut, qui ici a peut-être été enfoui, car on remarque que le chœur est surélevé par rapport à la nef.
Cette petite ouverture, de style typiquement wisigothique, témoigne de l'ancienneté La façade comporte quelques vestiges antiques, visiblement rapportés. Rappelons le fragment d'inscription monumentale qui cite la tribu Voltinia et ajoutons-y, sous la niche de droite qu'occupe la statue de St-Thomas apôtre, une large dalle de marbre blanc, sans doute d'origine antique, de forme trapézoïdale, ayant vraisemblablement servi de linteau à la porte de l'édifice roman, et qui offre, gravée très faiblement, une tête de Christ avec le nimbe crucifère, sculpture datant du XIIe siècle. | Pierre de remploi avec une tête de Christ gravée |
de la construction
Published by sergio
-
dans
chapelles eglise chateaux